Arslan Senki #23 - Version anglaise & Commentaires
Écrite par : Jayjay210 • Catégorie(s) : Arslan Senki • Postée le 09/05/2015 08:23 pm
Vous le savez fort bien, puisque je vois déjà plus de 300 visiteurs connectés aujourd'hui alors que nous n'en sommes qu'en début de soirée. Nous sommes le 09 du mois, ce qui signifie un nouveau chapitre de
La légende héroïque d'Arslan. Et c'est forcément pour cela que vous êtes tous ici, n'est-ce pas ? Eh bien, laissez-moi vous dire que vous pouvez vous gratter pour l'avoir votre chapitre, mwahahahahahahahaha !
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Non, bon, en fait, la raison est que je suis très peu inspiré ce soir, ce qui risque d'influer sur la qualité de cette news. Cela n'a pas vraiment de rapport avec le contenu du chapitre, même si celui-ci pourrait être qualifié de "
chapitre de transition". Néanmoins, puisque je me suis engagé à vous proposer ce résumé aujourd'hui, je n'ai d'autre choix que d'enfourcher le destrier de la rédaction et de filer droit à travers les plaines arides et poussières de Parse. C'est parti pour une nouvelle page de la
Légende Héroïque d'Arslan !
Arslan Senki #23 disponible en anglais
Que se passe-t-il dans le chapitre ?
Le mois dernier, la bonne volonté de notre naïf prince l'avait conduit dans une situation délicate où il voyait les esclaves qu'il venait tout juste de libérer se retourner contre lui pour venger leur ancien maître, Hodeyr, tué par la compagnie d'Arslan. Bien évidemment, il ne va rien lui arriver, Dariun volant à son secours. Et les six compagnons ne demandent pas leur reste, quittant la citadelle de Kashân au grand galop.
Suite à cet incident, il est temps pour Arslan de recevoir une leçon de vie et d'en découvrir un peu plus sur la réalité du pays qu'il espère un jour pouvoir gouverner. C'est en cela que ce chapitre sonne un peu comme une transition. Déjà, l'arc de la citadelle de Kashân est désormais clôt, et les compagnons se retrouvent sur la route. Surtout, la presque totalité du chapitre est consacré à l'apprentissage d'Arslan, aux conseils qu'il reçoit et aux histoires qu'il écoute.
De la part de Narsus, tout d'abord.
Juste après leur fuite, celui-ci explique à son altesse qu'il savait ce qui allait arriver (on l'avait compris au chapitre précédent, ça), et qu'il ne l'a pas mis en garde parce que rien n'est plus efficace qu'une leçon apprise par expérience. Lui-même a connu la même mésaventure qu'Arslan par le passé, comme on le découvre ensuite. Après avoir libéré tous les esclaves de son ancien domaine, Daylam, quelle ne fut pas sa surprise en revenant de la cour royale de retrouver la presque totalité de ses esclaves de retour ! Il comprit alors que, malgré le désir de liberté inhérent à tout être humain, le manque de compétences et/ou de sens à donner à sa vie en tant qu'homme libre empêche tout être de pouvoir véritablement embrasser une nouvelle vie, sans compter que les esclaves ne savent pas non plus dépenser leur argent. Vivre sous la servitude d'un maître généreux et bienveillant peut ainsi paraître plus agréable et facile qu'une vie de liberté où n'existe aucun système social dans lequel s'insérer, soit aucune perspective d'avenir.
De la part d'Elam ensuite.
La petite troupe s'arrête pour la nuit, mais tandis que les autres prennent du repos, Elam prépare déjà le petit-déjeuner en avance afin d'être prêt à lever rapidement le camp au petit matin. Arslan, qui ne parvient pas à dormir, le rejoint, et découvre de sa bouche une autre histoire de son passé commun avec Narsus.
Du temps où il était esclave du seigneur de Daylam avec ses parents, Elam travaillait aux cuisines, et il arrivait que Narsus leur rende visite. C'est avec les encouragements de celui-ci que le jeune Elam se retrouva motivé à continuer de s'améliorer en cuisine. Et ainsi, lorsqu'il fut affranchi, il put continuer à servir de son propre choix Narsus, notamment en lui préparant ses repas.
Un esclave avec un métier peut alors tracer sa propre existence, tel en conclut Arslan, qui demande alors à en savoir plus auprès d'Elam. Les deux jeunes garçons sont partis pour une nuit de débats, semble-t-il.
Après avoir entendu les histoires du maître et de l'ancien esclave, le "cours" d'Arslan est terminé. Il est certain que ce fut nécessaire pour lui, pour son apprentissage, sa construction en tant que dirigeant, et que ce sujet reviendra sur le devant de la scène tôt ou tard. Mais avant de penser à affranchir tous les esclaves du pays, encore faut-il commencer par le reconquérir, et pour cela, il leur faut une armée. A Kashân, ils ont fait chou blanc à cause de la traîtrise d'Hodeyr, et les voilà toujours au même point. Alors, vers où se diriger maintenant ? Le port de Ghiran au sud ? Les troupes stationnées à la frontière occidentale du royaume ? Non, Arslan choisit une toute autre option, qui m'a littéralement fait bondir de joie : la forteresse de Peshawar ! On va enfin revoir Kishwahd, bon sang de bonsoir !
YOUHOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUU !
Depuis le temps que j'attends cet arc narratif-ci. Il était évident qu'on y viendrait, mais je me demanderai toujours pourquoi ce ne fut pas leur premier choix, Peshawar paraissant assez logique et l'un des seuls renforts militaires possible. En tout cas, nous y allons enfin dès le mois prochain... mais tout ne semble pas aussi simple en apparence.
Dans le chapitre du jour, on découvre également que, non loin de Peshawar, se trouve le donjon Saint-Emmanuel, un ancien bastion abandonné mais qui est désormais occupé par les troupes du général lusitanien Barcasion. Et qui est l'écuyer de ce général, déjà ? Étoile, bien évidemment !
Voilà qui nous promet un très bel été sous le ciel de Parse. Arslan et ses compagnons, les lusitaniens, Kishwahd, Azraâl, Étoile, et j'en passe... De nombreux personnages se rassemblent, probablement à partir du mois prochain, pour livrer un combat décisif pour le futur de Parse. Alors rendez-vous le 09 juin prochain pour connaître la suite
D'ici juin, il y aura bien évidemment la suite de notre week-end 100%
Arslan Senki, avec bien entendu, dès demain, un épisode de l'adaptation en anime le emidi, et après une semaine de pause, un nouveau chapitre en VF le soir.
A demain dimanche, les shamballiens, en espérant que je sois plus inspiré que ce soir...